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dc.contributor.authorSerhani, Meriem
dc.date.accessioned2025-09-29T10:30:44Z
dc.date.available2025-09-29T10:30:44Z
dc.date.issued2015-11-26
dc.identifier.citationSerhani, Meriem. (26 de novembre de 2015). La politique linguistique de l’Algérie postcoloniale: anti-français à la française. RLD Blog. https://hdl.handle.net/20.500.14227/4614ca
dc.identifier.issn2696-8908ca
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.14227/4614
dc.description.abstractLe paysage sociolinguistique en Algérie est caractérisé par la coexistence de plusieurs langues. Il se compose de l’arabe standard modern, langue officielle et nationale, réservée à l’usage de l’officialité. Aussi, la langue française qui prétend à une certaine «co-officialité»; sans être officielle, elle véhicule des fonctions officielles. Avec l’arabe classique, elle est la langue du travail dans des différents secteurs (économie et commerce, industrie, enseignement supérieure et recherche scientifique, médias, institutions administratives, culture, etc.). L’impact de la politique française en Algérie pendant la colonisation a fait du français pendant l’indépendance une langue véhiculaire également. Elle est utilisée parallèlement avec l’arabe algérien. Ce dernier est la variante de l’arabe qui constitue la vraie langue maternelle utilisée quotidiennement par la majorité des algériens. Bien que l’arabe algérien, dit la darija (qui signifie ‘langue courante’), soit considéré comme une variante de la langue arabe, il est significativement différent de la variante littéraire. À des degrés divers, la darija montre des différences dans la grammaire, la prononciation, et en grande partie dans le vocabulaire. Peuplée par les amazighs (la population autochtone) depuis l’antiquité, l’Algérie témoigne plusieurs invasions, telles que la phénicienne, la romaine, la vandale, la byzantine, l’arabe, l’espagnole, la turque, et la française. Du fait, l’arabe dialectal algérien s’est enrichi de nombreux emprunts au contact avec ces civilisations et leurs langues, notamment du tamazight et du français. Ce qui a fait de ce dialecte, ainsi que tous les dialectes maghrébins, difficilement intelligible pour les arabes du Machrek.ca
dc.format.extent4 p.ca
dc.language.isofraca
dc.publisherEscola d’Administració Pública de Catalunyaca
dc.relationApunt de blog disponible a:ca
dc.relation.ispartofRLD blogca
dc.relation.urihttps://eapc-rld.blog.gencat.cat/2015/11/26/la-politique-linguistique-de-lalgerie-postcoloniale-anti-francais-a-la-francaise-meriem-serhani/ca
dc.rightsAttribution 4.0 International*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by/4.0/*
dc.subject.otherAlgèriaca
dc.titleLa politique linguistique de l’Algérie postcoloniale: anti-français à la françaiseca
dc.typeinfo:eu-repo/semantics/otherca
dc.rights.accessLevelinfo:eu-repo/semantics/openAccess
dc.embargo.termscapca
dc.subject.udc00ca
dc.subject.udc070ca
dc.subject.udc34ca
dc.subject.udc81ca
dc.subject.lemacBlogsca
dc.subject.lemacPolítica lingüísticaca
dc.subject.lemacMultilingüismeca
dc.subject.lemacPostcolonialismeca


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